Cet article provient du site http://www.eolien-cathare09.org
> Les Etats Américains ont été, très tôt, les premiers bernés par la « religion » du vent, et ses apôtres !
> Dès 1981, sous la poussée des « Evangélistes verts », les gouvernements de différents états américains, dont, entre autres, la Californie et Hawaï, ont lancé la construction de ce qu’ils appellent les « Wind Farms ».
> Les financements de ces mégaprojets ont été évidemment payés par les taxes des contribuables.
> Comme en Europe, des taxes payées par les Citoyens….
> Il a fallu dix ans pour se rendre compte que les éoliennes n’étaient pas rentables pour des raisons évidentes : énergie intermittente donc rendements totalement insuffisants, coûts de maintenance et coûts de fonctionnement faramineux… car, pour que les mécanismes des éoliennes ne se dégradent pas, il faut qu’elles tournent.
> Le comble, c’est de devoir les faire tourner quand il n’y a pas de vent ! Et comment, me direz-vous ? en consommant de l’électricité bien sûr !
> Un autre dilemme s’est présenté, il a fallu arrêter les éoliennes quatre mois par an, car elles décimaient des milliers d’oiseaux migrateurs.
> Un des sites d’éoliennes a recensé plus de 10.000 oiseaux tués sur une année !
> Les financiers américains et les contribuables US sont des gens pragmatiques.
> Ils ont fait leurs comptes. La bulle énergétique éolienne n’était valable qu’avec les subsides des gouvernements des différents états. Et, au grand désespoir de tous les lobbies et associations d’illuminés verts, les gouvernements ont décidé de tout arrêter.
> Le résultat global est apocalyptique en plus d’être une énorme perte financière.
> Donc, depuis des années, 14.000 éoliennes croupissent, se déglinguent, rouillent dans les immenses « Wind farms » abandonnées à tout jamais.
> Des fortunes dépensées à la gloire du dogme vert.
> Il me reste une question importante : les écolos ont-ils fait des études de rentabilité sur leurs élucubrations?
> En France et en Belgique, le même désastre qu’aux Etats-Unis est prévisible !
> N’est-il pas répréhensible de lancer un projet sans comparer avec les réussites et les ratés d’autres pays dans ce domaine? Cela s’appelle pour les vrais professionnels : « Un retour d’expérience ».
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